Entre matelas et sommier.

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Habituellement dans mes journaux, j’écris surtout à propos des épreuves par lesquelles je passe. Je me sers de mes journaux comme d’une lentille pour explorer mes conflits, mes émotions complexes, mes idées noires, mes idées blanches.
Ça m’a été une belle surprise de trouver cet infime cristal d’optimisme dans cette mine de confusion.
J’ai écrit :

À chaque moment de doute, j’arrive à transformer les choses au mieux, au plus beau, au plus fantastique. Je me sens à la fois aimable et aimé.

Les moments de doute sont passagers, comme le sont les moments fantastiques et doux et beaux; le tout c’est de savoir les ramener lorsqu’ils manquent à l’appel.